• « Un bon leader doit se détourner de certaines habitudes… »

    Rencontre avec Président Mamadou Seck, Maire de la commune d’arrondissement de Mbao

    Dans le cadre de la célébration de son premier anniversaire (25 décembre passé) votre journal avait eu un entretien avec M.Mamadou Seck, Maire de Mbao et par ailleurs Président de l’Assemblée Nationale. La troisième personnalité de l'Etat a donné ses impressions concernant cet organe de presse local qu’est Mao Info. Il est revenu aussi sur le rôle de la jeunesse dans le développement du pays.

    Journal Mao Info : Quelles appréciations faites-vous du Journal Mao Info ?

    Mamadou Seck : D’après une lecture de mes collaborateurs, le journal est un peu agressif et malheureusement je n’ai pas encore eu l’occasion de m’entretenir avec vous pour bien en parler. Mais je retiens que c’est un journal connu et bien lu.

    J.M.I : Avez-vous tiré des enseignements par rapport aux différentes questions soulevées dans le Journal ?

    M.S : Oui, j’ai été très attentif à certains sujets tels que l’emploi des jeunes, l’environnement, le sport etc. Votre journal a posé des questions réelles et sérieuses qui sévissent dans la commune et qui attirent toute mon attention. A cet effet, des actions pas forcement visibles sont entrain d’être menées pour les résoudre mais dans le courant 2011, un certain nombre d’améliorations et de solutions seront perceptibles par les populations.

    J.M.I : Quelle rôle la Mairie peut-elle jouer pour accompagner le journal ?

    M.S : Il serait bien de nouer un partenariat entre la Mairie et vous. Ceci permettra au journal d’accéder à toutes les informations utiles à la connaissance des populations. Pour ce faire, un journaliste pourra être accueilli à la Mairie pour une collecte de toutes ces informations. Par ailleurs, un financement ou une subvention annuelle pourra vous être allouée pour vous aider à faire face aux difficultés inhérentes au fonctionnement d’un organe de presse. Il appartiendra au conseil municipal d’en décider mais si cela ne dépendait que de moi, je l’aurais fait. Cependant, il faudra une autre rencontre pour mieux réfléchir sur la question. Vous conviendrais avec moi que la Mairie a le devoir de vous accompagner dans votre travail d’information comme l’Etat le fait en subventionnant des organes de presses privés comme publics.… LIRE LA SUITE DANS LE 5e NUMERO DU JOURNAL PAPIER DISPONIBLE BIENTOT DANS LES KIOSQUES DE LA COMMUNE DE MBAO


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  • Dans les zones urbaines comme dans les zones rurales, on retrouve ces marchés, avec le plus souvent des marchés permanents dans les grandes agglomérations, et dans des marchés hebdomadaires en milieu rural même si à Dakar on note la présence de ces derniers. Avec l’extension de la commune d’arrondissement de Mbao, on note plus d’une trentaine de cités, ainsi la population devient de plus en plus nombreuse mais les infrastructures devants accueillir des marchés ne suivent pas.   

                                               

    A Dakar, il existe une très grande diversité de marchés. Ces marchés peuvent être considérés comme des lieux de déroulement des échanges où se repèrent les acteurs et les flux de marchandises, où sont étudiés les prix, jalonnés les circuits et localisés les aires de production. Il y a les grands marchés, les marchés de quartier, les marchés irréguliers, les étals et les micros marchés.

    La commune de Mbao ne compte que de petits marchés permanents qui ne sont pas spécialisés, comme c’est le cas du marché de Keur Mbaye Fall. Ce marché est considéré comme le plus grand de la commune, car il attire de nombreux commerçants et acheteurs qui y viennent acheter ou vendre des produits variés… LIRE LA SUITE DANS LE 5e NUMERO DU JOURNAL PAPIER DISPONIBLE BIENTOT DANS LES KIOSQUES DE LA COMMUNE DE MBAO


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  • Ces dernières années, la commune d’arrondissement de Mbao a été le théâtre de nombreuses opérations urbaines et parfois de constructions de petits magasins et cantines commerciaux sur les artères de la VDN de Grand Mbao.

    Avec la poussée du front d’urbanisation dans la  commune d’arrondissement de Mbao suite à l’épuisement des réserves foncières et à leur cherté dans l’agglomération dakaroise, la population ne cesse de s’accroitre de plus en plus. Mbao constitue une zone où on note la présence d’importantes réserves foncières à des prix accessibles comparés à ceux qui sont pratiqués dans d’autres zones périurbaines. Tous ces facteurs ont favorisé l’implantation de plusieurs opérations immobilières et aussi des lotissements qui ont comme résultat des recompositions importantes sur l’espace communal et des changements socio-économiques non négligeables. Ainsi, le long des artères du village de Mbao mais surtout  de la VDN  qui est la route allant du croisement de la cité Ndéye Marie à Petit Mbao, est  occupé par la plus part par des magasins et de petites cantines de commerce. Il s’agit des quincailleries, qui vendent des matériels de construction, des boutiques, des salons de coiffures, des dibiteries, des cantines de réparateurs de portables, des charcuteries etc. Le plus souvent, ce sont les riverains qui transforment  leurs maisons en magasins et parfois pour gagner de la place sur l’avant de leur maison, ils occupent de façon illégale la voie publique pour aménager des petites cantines de commerce. Selon Jean, gérant  d’une quincaillerie, la plus part des ces magasins sont en location et  le coût varie entre 20.000 à 40.000 francs CFA, en plus de la taxe (patente) qu’ils payent tous les mois à la mairie  qui est de 3000francs… LIRE LA SUITE DANS LE 5e NUMERO DU JOURNAL PAPIER DISPONIBLE BIENTOT DANS LES KIOSQUES DE LA COMMUNE DE MBAO


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    Le surentrainement est une cause assez fréquente de diminution de performance sportive. Il est généralement diagnostiqué tardivement tant son installation est lente et progressive et ses symptômes pouvant être confondus avec d’autres pathologies (fatigue), douleurs musculaires, perte d’appétit, troubles du sommeil, etc.  Si tous ces signes sont fréquemment rencontrés après de lourds entrainements ou longues compétitions.

    Ils doivent disparaitre après quelques jours d’entrainement plus légers ou de repos. Dans le cas contraire, on peut parler de syndrome de surentrainement. Le surentrainement pourrait donc être défini comme une perte progressive très légère, et ceci avec ou sans le cortège de syndrome que nous allons d’écrire plus loin. Le syndrome peut toucher tous les sports, comme l’endurance de force ou d’explosivité…

     

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    Mohamed Bouazizi ce jeune marchand ambulant tunisien qui s’est immolé le 17 décembre 2010, a soulevé la révolution qui a permis de faire partir le président Ben ALY. Cet acte a fait tache d’huile jusque dans notre pays et continu de se répandre avec de nouveaux cas notés dans tout le pays. Un phénomène qui est banni par toutes les religions révélées sur tout l’islam qui est la plus pratiquée dans notre pays mais aussi qui trouve une explication sociologique.

    Le vendredi 18 février 2011 à 10h GMT, Bocar Bocoum, un ancien soldat âgé d’une trentaine d’année s’immole devant les grilles du palais présidentiel, il rendra l’âme deux jours après. Ainsi le Sénégal vient d’avoir son Bouazizi qui ne va pas soulever une révolution mais va faire tâche d’huile dans le pays.  Une semaine après, Ahmed Tidiane Bâ âgé de 33ans se met le feu toujours devant la résidence du président de la république. Les cas se succèdent les mobiles et les localités diffères selon les personnes, le seul point commun de ces candidats à la mort le feu et rien que le feu comme les derniers cas notés à keurs massar et à Rufisque prés de rufsac.

    Le suicide un geste réprimé par toutes les religions révélées. L’Islam qui est la religion la plus pratiquée au Sénégal interdit le suicide. Il n’est pas permis à un croyant musulman de porter atteinte à son corps ou de penser qu’il peut décider de lui-même de la fin de sa vie. L’Islam voit le suicide comme un péché et un obstacle à l’évolution spirituelle. Cependant, les êtres humains ne sont pas infaillibles et peuvent commettre des erreurs…LIRE LA SUITE DANS LE 5e NUMERO DU JOURNAL PAPIER DISPONIBLE BIENTOT DANS LES KIOSQUES DE LA COMMUNE DE MBAO


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